la tanière du goupil

Voici le texte recraché, comme une vieille boule de poils, coincées au fond de la gorge par votre serviteur et une Ai. Afin de pondre un portrait du héro de ma série 

« Les chroniques d’un temps futur »

 » Couvert de poussière, Darhn est assis au milieu d’un paysage post-apocalyptique. C’est un survivant aux yeux perçants. D’une stature imposante et musculeuse, sa peau mate et ses dreadlocks qui dépassent d’un vieux chapeau melon, évoquent une force intérieure inébranlable. Habillée de peaux de bêtes sauvages, de fragments de métal et d’objets récupérés, sa tenue  reflète une époque où la débrouille devient implacablement une nécessité. Une lueur mélancolique mais résolue brille dans ses yeux alors qu’il regarde l’horizon d’un air contemplatif. Sa grosse cigarette roulée disparaissant dans l’enchevêtrement de sa barbe émet une épaisse fumée, ajoutant à son allure indomptable. Ses bottes militaires, portées d’une longue vie de baroude, usées, rapiécées. Elles ont foulées le sol d’un monde dévasté par l’absurde mégalomanie des Anciens de Ter », petite planète meurtrie, avec une  détermination à l’épreuve du temps. Dans son dos, est accrochée une grande hache (Tête en haut, faite avec un panneau de signalisation STOP)

Derrière lui, les vestiges d’une civilisation autrefois prospère s’étendent à perte de vue. Des bâtiments en ruine sont les témoins silencieux d’un passé oublié, des carcasses de voitures abandonnées gisent rouillées, témoins d’une époque révolue. La nature, quant à elle, reprend peu à peu ses droits, effaçant les cicatrices du temps avec une vigueur surprenante. Dans ces terres désolées, le silence règne en maître, accentuant l’isolement de ce guerrier solitaire. Darhn est l’un des rares survivants de ce monde post-apocalyptique, une âme forte et résiliente, destinée à parcourir seule le chemin tortueux de cette nouvelle réalité « .

Voila le résultat…